mercredi 4 décembre 2019

Grève du 5 décembre : 180 intellectuels et artistes appellent à soutenir les luttes sociales .

" Face aux offensives d’un gouvernement néolibéral et autoritaire, nous estimons qu’il est de notre responsabilité d’affirmer que notre présent et notre avenir émergeront des luttes sociales et politiques. Les luttes plurielles qui structurent une large partie de la société française sont une possibilité de départ vers la construction et la mise en oeuvre de nouveaux paradigmes : le pouvoir vivre plutôt que le pouvoir d'achat; la mondialité plutôt que la mondialisation; la justice sociale plutôt que la loi du plus fort ".

Liste complète des signataires
Christophe Aguiton, sociologue ; Jean-Loup Amselle, anthropologue ; Alexis Anne-Braun, écrivain ; Ariane Ascaride, comédienne ; Patrick Autréaux, écrivain ; Geneviève Azam, économiste ; Marie-Hélène Bacqué, sociologue ; Etienne Balibar, philosophe ; Ludivine Bantigny, historienne ; Christian Baudelot, sociologue ; Aurélien Barrau, astrophysicien ; François Bégaudeau, écrivain ; Nicolas Benies, économiste ; Laure Bereni, sociologue ; Pierre Bergounioux, écrivain ; Florian Besson, historien ; Gisèle Berkman, essayiste ; Laurent Binet, écrivain ; Jacques Bidet, sociologue ; Yves Bonnay, enseignant ; Véronique Bontemps, anthropologue ; Thomas Branthôme, historien du droit ; Rony Brauman, médecin ; Dany Bruet, économiste ; Dominique Cabrera, réalisatrice ; Julia Cagé, économiste ; Robin Campillo, réalisateur ; Laurent Cantet, réalisateur ; Manuel Cervera-Marzal, sociologue ; Bernard Chambaz, écrivain ; Patrick Chamoiseau, écrivain ; Yves Charnet, écrivain ; Sébastien Chauvin, sociologue ; Natacha Chetcuti-Osorovitz, sociologue ; Stéphanie Chevrier, éditrice ; Samuel Churin, comédien ; Hélène Cixous, écrivaine ; Patrice Cohen-Seat, avocat ; Maxime Combes, économiste ; Pierre Cours-Salies, sociologue ; Thomas Coutrot, économiste ; Alexis Cukier, philosophe ; Jocelyne Dakhlia, historienne ; Alain Damasio, écrivain ; Judith Davis, réalisatrice ; Françoise Davisse, réalisatrice ; Jérôme Deauvieau, sociologue ; Laurence De Cock, historienne ; Christine Depigny-Huet, anthropologue ; Rokhaya Diallo, essayiste ; Cyril Dion, réalisateur ; Emmanuel Dockès, juriste ; Nicole Edelman, historienne ; Didier Eribon, philosophe ; Annie Ernaux, écrivaine ; Patrick Farbiaz, auteur ; Eric Fassin, sociologue ; Jacques Fath, essayiste ; Pascale Fautrier, auteure ; Fabrice Flipo, philosophe ; Brigitte Fontaine, poète ; Bernard Foutrier, historien ; Geneviève Fraisse, philosophe ; Bernard Friot, économiste ; Camille Froidevaux-Metterie, philosophe ; Jean Gadrey, économiste ; Isabelle Garo, philosophe ; Didier Gelot, économiste ; Susan George, essayiste ; Jérôme Gleizes, économiste ; Maria Grazia Meriggi, historienne ; Roland Gori, psychanalyste ; Robert Guédiguian, réalisateur ; Janette Habel, universitaire ; Jean-Marie Harribey, économiste ; Ingrid Hayes, historienne ; Clotilde Hesme, comédienne ; Sylvestre Huet, journaliste ; Michel Husson, économiste ; Sabina Issehnanei, économiste ; Pierre Jacquemain, journaliste ; Chantal Jaquet, philosophe ; Samy Johsua, professeur de sciences de l’éducation ; Anne Jollet, historienne ; Juliette, auteure, musicienne ; Leslie Kaplan, écrivaine ; Razmig Keucheyan, sociologue ; Pierre Khalfa, économiste ; Jean-Daniel Magnin, écrivain ; Aïssa Lacheb, écrivain ; Jean-Marie Laclevetine, écrivain ; Geoffroy de Lagasnerie, philosophe ; Bernard Lahire, sociologue ; Nicolas Lambert, cartographe ; Mathilde Larrère, historienne ; Sandra Laugier, philosophe ; Christian Laval, sociologue ; Jean-Louis Laville, sociologue ; Elisabeth Lebovici, critique d’art ; Olivier Le Cour Grandmaison, historien ; Pascal Lederer, philosophe ; Rémi Lefebvre, politologue ; Jérôme Leroy, écrivain ; Edouard Louis, écrivain ; Germain Louvet, danseur étoile ; Corinne Luxembourg, géographe ; Alain Mabanckou, écrivain ; Philippe Mangeot, enseignant ; Philippe Marlière, politologue ; Roger Martelli, historien ; Malte Martin, designer graphique ; Gilles Martinet, géographe ; Christiane Marty, féministe ; Bernard Marx, économiste ; Gustave Massiah, économiste ; Florent Massot, éditeur ; Nicolas Mathieu, écrivain ; Marion Mazauric, éditrice ; Caroline Mecary, avocate ; Dominique Méda, sociologue ; Philippe Meirieu, chercheur ; Meyer, photographe ; Ariane Mnouchkine, metteure en scène ; Claudia Moatti, historienne ; Christian de Monlibert, sociologue ; Chantal Montellier, bédéaste ; Gérard Mordillat, réalisateur ; Toni Negri, philosophe ; Emmanuel Noblet, metteur en scène ; Gérard Noiriel, historien ; Océan, comédien réalisateur ; Nicolas Offenstadt, historien ; Ugo Palheta, sociologue ; Willy Pelletier, sociologue ; Pierre Pelot, écrivain ; Hélène Pereira, philosophe ; Bruno Perreau, politologue ; Thomas Piketty, économiste ; Loucas Pillaud-Vivien, mathématicien ; Pablo Pillaud-Vivien, journaliste ; Michel Pinçon, sociologue ; Monique Pinçon-Charlot, sociologue ; Thomas Porcher, économiste ; Luc Quinton, plasticien ; Makan Rafatdjou, architecte-urbaniste ; Gilles Raveaud, économiste ; Patrick Raynal, écrivain ; Eric Reinhardt, écrivain ; Emmanuel Renault, philosophe ; Robin Renucci, comédien ; Judith Revel, philosophe ; Jacques Rigaudiat, économiste ; Blandine Rinkel, écrivaine ; Michèle Riot-Sarcey, historienne ; Daniel Rome, enseignant ; Pierre Rousset, spécialiste de l’Asie ; Alain Ruscio, historien ; Thomté Ryam, auteur ; Zoé Sagan, écrivaine ; Danièle Sallenave, de l’Académie française ; Anne Salmon, sociologue ; Jean-Marc Salmon, chercheur en sciences sociales ; Gisèle Sapiro, sociologue ; Alexandre Sargos, journaliste ; Réjane Sénac, politologue ; Lucien Sève, philosophe ; Minna Sif, auteure ; Patrick Silberstein, éditeur ; Yves Sintomer, politologue ; Danielle Stéphane, artiste visuelle ; Amanda Spiegel, librairie Folies d’encre ; Philippe Sultan, spécialiste des politiques publiques ; Jean-Pierre Térail, sociologue ; Julien Théry, historien ; José Tovar, essayiste ; Catherine Tricot, architecte-urbaniste ; Aurélie Trouvé, agroéconomiste ; Paco Vallat, éditeur ; Dominique Vidal, essayiste ; Jean Vigreux, historien ; Arnaud Viviant, critique littéraire ; Sophie Wahnich, historienne ; Serge Wolikow, historien ; Alice Zeniter, écrivaine

dimanche 1 décembre 2019


CPAS en " FAILLITE" ? Impossible ! 
CAR :

La " faillite " est un concept  ki appartient au langage économique : " Terme de commerce. Action ou étatd'un commerçant qui cesse ses payements.  Ce marchand a fait faillite " 
Pourquoi " cesser ses payements." ? Bin pcq' on ne fait plus de PROFIT ...

OR, le concept de " CPAS" relève du langage SOCIO -_POLITIQUE : 
Les centres publics d'action sociale sont des organismes publics qui ont pour mission « de permettre [à chacun] d'être en mesure de mener une existence conforme à la dignité humaine1 » ( WikiP) 
Rien à voir, donc, avec le commerce et stt avec le profit, bien au contraire !

Certes, les CPAS dépendent de SUBSIDES. 
Mais ceux-ci n'ont rien à voir avec du "commerce" ou du " PROFIT", mais avec des choix POLITIQUES ET SOCIAUX.
Or, en wallonie, les partis politiques présents ds les communes le sont AUSSI ds d' autres niveaux de POUVOIR, donc de DECISION ... 
C'est le cas d'un parti comme le PS, par ex.

Donc, les seuls éléments ki interviennent ds la subdiation des CPAS, bin, c'est le fait de considérer, ds d'autres niveaux de pouvoir, où, " d'une façon ou d' une autre" , les mêmes PARTIS sont présents, k'il FAUT donner plus de moyens aux CPAS ... ou PAS !

Pour faire bref, la subsidiation dépend de la capacité d'un socialiste de convaincre d'autres socialistes k'il  est NECESSAIRE de dégager plus de SOUS pour les Assurés Sociaux plutôt ke, au hasard, pour l' achat de 34 chasseurs F-35 Lightning II du groupe Lockheed Martin Corp, ou la construction d' un TRAM avant déc' 2058...

Tout le reste, c'est d' la défense d' autres beefsteaks  (Nethys, tjrs au hasard) - et des p'tits rev'nus personnels associés , ou d' l'envie ( mais PQ ? ) de se ménager des alliés ds d' autres partis ( le MR, au hasard ... pas les  Ecolos, éternels cocus de ttes les coalitions ...)

Et toutes les z' aut' esplikations ( genre " faillite", ...) c'est d' la kouy'en boîte !

JUSTE une VOLONTE socio-politik ...

jeudi 21 février 2019

Infos pour réunion février 2019



Infos pour réunion aDAS Bruxelles et aDAS Liège février 2019

Rencontre le 14 février avec Equipes Populaires et Vie Féminine à Philippeville
- une dizaine de personnes
- informations sur l'aDAS, les analyses et les moyens d'action
- volonté d'agir en particulier sur les CPAS de Couvin et Philippeville
- projet : ateliers d'informations sur les droits, défenses individuelles en collaboration avec l'aDAS, - - une antenne locale de l'aDAS à terme ?  

Colloque du CVFE Liège le 21 février
Intervention aDAS au colloque du Collectif contre les violences familiales et conjugales

Dans le numéro 97 de septembre 2018, un long dossier sur la proposition Ecolo de revenu de base
et sur la proposition PS de BSG (bonus social généralisé)

A lire de pages 44 à 49, les 10 propositions du CSCE et les réponses des partis à ces propositions

En particulier sur les PIIS page 47
Et en particulier sur les article 60 page 49 (le CSCE propose la mise à l'emploi en article 60 y compris pour des personnes n'ayant pas droit au RIS ou à l'aide financière équivalente) : réaction aDAS ?

CPAS de Liège
- nombreux problèmes retards d'examen des dossiers, retards de paiement, antennes et services inaccessibles par tél, turn over des AS, plus d'AS référent auquel les usagers peuvent s'adresser
- problèmes, encore, avec l'obligation de signer des reconnaissances de dettes avant d'avoir la décision et sa notification
- plusieurs courriers ont été envoyés ces dernières semaines pour des situation individuelles : nous avons eu gain de cause dans la plupart des cas, mais il faut obtenir à présent des changements pur tou(te)s. Je vous transmettrai les courriers quand ils seront anonymisés
- antenne SF et adresse de référence : nouvelles rencontre avec les responsables du CPAS prévue le 20 mars. Auparavant, nouvelle présence sur place afin de se rendre compte de l'évolution de la situation depuis juillet 2018, assurée par Jean P et sans doute Benoit + Henri
- réunion commune Ville CPAS les 25 et 26 mars : mobilisation unitaire prévue comme en décembre 2017
- rencontre avec 2 conseillers CPAS Vert Ardent (alliance Ecolo – Mouvement Demain) : la plupart des problèmes rencontrés par les usagers ont été passés en revue. Les bases d'une collaboration ont été posées. Nous nous reverrons pour analyser la future Note de politique générale + le budget ; cette réunion se ferait aussi avec des délégués syndicaux
- la réunion s'est faite avec Vert Adent seulement, le PTB n'ayant pas répondu au doodle. Depuis lors, les 3 conseillers ont demandé à nous rencontrer. Pas encore de date fixée
- hier 19 février, j'ai accompagné une personne en audition par le Conseil. Une situation kafkaïenne qui dure depuis 4 mois. Problème, entre autres, d'inscription en adresse de référence (j'informerai Jean P et Dominique plus en détail). Nous avons demandé – et obtenu ! - la consultation du dossier, et Mr S a même pu avoir des photocopies du dossier. Une précédent important pour le CPAS de Liège qui refusait jusqu'à présent l'accès au dossier
- licenciement abusif d'un article 60. Défense en cours en collaboration avec la délégation syndicale et des conseillers        

CPAS de Ans
- encore un problème de refus d'inscription en adresse de référence
- deux refus successifs parce pas radié (sans démarches du CPAS pour obtenir la radiation)
- nouveau refus après la radiation au motif qu'il y a trop longtemps qu'il est hébergé chez son frère
accompagné en audition ce jeudi par Eric

CPAS de Tenneville
- retrait abusif du RIS cohabitant à deux jeunes majeurs suite à la mise au travail en article 60 du père
- j'ai contacté le service inspection du SPP IS qui a donné ordre de réaccorder le RIS et d'en fournir la preuve (discrétion SVP)

CPAS de Binche et de Braine-le-Comte
- deux personnes ont été accompagnées en audition par Freddy
- deux situations un peu semblables de retrait de RIS pour suspicion de cohabitation
- réoctroi du RIS les deux fois grâce à l'audition

Autres CPAS
- beaucoup de demandes diverses d'informations et d'interventions dans d'autres CPAS
- demandes venant pas le site, le mail aDAS, le facebook aDAS, mon mail et mon facebook

- ça ne va tout simplement plus être possible il faut trouver une solution structurelle...

Facebook aDAS
- j'ai déjà abordé ce problème plusieurs fois
- nous sommes 6 à avoir accès (pouvoir poster des informations), mais ça ne se fait pas
- je vais envoyer un de ces jours une proposition aux 6 concernés, avec copie à tou(te)s, nous devons absolument gérer les deux pages aDAS, si quelqu'un(e) pouvait prendre ça en charge, ce serait plus qu'utile. Je ne peux faire cela en plus du reste

Intervention aDAS école sociale Liège
le 28 février devant 60-70 élèves de 2ème après le visionnement du film Les Invisibles   

dimanche 11 juin 2017

"La mise en récit est-elle un mode universel de la compréhension de soi sur la base de laquelle se déploient des formes multiples de narrations ordinaires ? Qui à leur tour seraient reprises et réfléchies dans des "narratologies" savantes (sociologie, histoire, anthropologie…), contribuant à forger tant les identités narratives individuelles que collectives ?" ( Johann Michel )
Car, selon Ricoeur, « nous n’avons aucune idée de ce que serait une culture où l’on ne saurait plus ce que signifie raconter » ...

Ricœur plaide vigoureusement pour une conception du langage qui rende justice à sa visée référentielle. L'analyse des énoncés métaphoriques montre que c'est le langage le moins directement référentiel qui dit le mieux le secret des choses. La métaphore vive rend possible un « voir-comme » qui trouve son prolongement ontologique dans « l'être-comme » qui nous permet d'envisager le monde comme un monde habitable. L'analyse de la fonction narrative franchit un pas supplémentaire dans l'exploration de cette créativité du langage. Les intrigues narratives donnent un sens humain au temps, en accomplissant une synthèse de l'hétérogène. Bien que La Métaphore vive (1975) et Temps et récit I-III (1980-1983) soient des ouvrages jumelés, l'analyse de la fonction narrative marque des avancées théoriques importantes. La mise en intrigue narrative des récits de fiction, aussi bien qu'historiques, implique trois opérations conjointes : la préfiguration, la configuration et la refiguration. C'est la troisième opération qui exprime le mieux la visée référentielle et la portée ontologique des récits.

Autant l'adage « le symbole donne à penser » domine la première herméneutique, autant la devise « expliquer plus, c'est comprendre mieux » joue un rôle central dans l'herméneutique du texte. Elle présuppose une dialectique de l'explication et de la compréhension qui non seulement ouvre l'herméneutique aux sciences du texte, mais fraie aussi la voie à une philosophie de l'action dans laquelle l'analyse de l'agir humain occupe une position médiane entre le texte et l'histoire.

vendredi 2 juin 2017

Voici. sur "la fin et les moyens"...
Dans l'espace et le temps actuel, contre le cynisme de la classe dominante, quelques réponses sont admises :
- le blâme ( rép des sociaux-démocrates de tous bords ) ;
- les grèves et manifs ( une partie des mêmes, les syndicats, le TEC,... ) ;
- la haine ( rép spontanée des "humiliés et offensés" ) ...
Beaucoup d'anticapitalistes et antinationalistes ignorent - ou feignent d'ignorer - une autre voie : la lutte "armée" et/ou l'action directe.
Rappelons qu'en Irlande du Nord, la lutte sociopolitique fut menée selon une double stratégie :
1) la négociation sans concession ( le " Sinn Fein",...);
2) la lutte armée et l'action directe ( IRA, IRA Provisoire,...).
Selon moi ( et d'autres sans doute ! ), nous ne pouvons plus ignorer, dans l'espace et le temps actuel , cette double statégie.
Le débat - urgent , avant une nouvelle " Bande à Bonnot" ! - est ouvert, qu'on le veuille ou non.
MauMiZu.

samedi 12 novembre 2016

Non à la loi Borsus

NON, NON ET NON !
Non à la loi Borsus
Non au service communautaire
Non aux PIIS.
Action de Vie Féminine et de l'ADAS devant le CPAS de Liège

jeudi 29 septembre 2016

" connaissance de la nature humaine..." (?!)

doc face
--- 29/9/16
Compétence exigée : connaissance de la nature humaine...

C'est, entre nombreuses autres compétences, ce qui est demandé aux agents d'accueil dans les CPAS
N'est-ce pas un peu beaucoup demander à des agents mal payés, souvent en CDD (contrats à durée déterminée) et même en article 60 ?
Connaissance de la nature humaine : rien que ça !   B S.
(Source : L'accueil des CPAS, étude commanditée par le SPP Intégration sociale, juin 2016)
Commentaires
D S :   Malheureusement Bernadette je ne peux qu'agréer à ce que tu dis. Certains ART60 sont super. Le seul problème est à mon sens le manque de formation et la pression sur leurs épaules.
Bernad  : Artice 60, le sous-statut par excellence, c'est là le problème. Mais aussi du fait que ce sont des CDD, rotation permanente du personnel. Ce qui est très dommageable pour un emploi comme celui d'agent d'accueil.
E C : Compétence exigée (en OFF) : être capable d'ignorer la souffrance réelle des gens, ou en tout cas arriver à (comprendre) accepter que l'équilibre financier de l'employeur (CPAS) est dominant par rapport à l’octroi des RIS.